J'crois qu'ça va dev'nir la 66...mais comme certaines n'ont pas été diffusées, j'suis perdu
T'as Rien Entendu #51
- La Marche Des Hommes - Morse Code
- Après la séparation des Pieds Nicklés, Christian Simard et Raymond Roy forment le groupe Les Maitres, avec Michel Vallée à la basse et Jocelyn Julien à la guitare. Ils publient trois singles en 1970, puis le groupe se sépare et Christian propose de poursuivre l'aventure sous un autre nom, Morse Code Transmission et de laisser tomber le style yé-yé pour un rock plus musclé et plus proche des formations britanniques progressives telles que Genesis, Yes et Pink Floyd. … Il faudra attendre quelque temps et, armé d'un nouveau contrat de disque avec Capitol Records, le groupe se retrouve en studio pour un premier 45 tours et raccourcit leur nom pour devenir Morse Code. Ils chantent dorénavant en français.
- Version Originale (1975) - 11°16
- Skenet Bredrar – Kaipa
- J’aborde enfin le début de leur carrière…...en suédois en plus
- Version Originale (1976) - 21°50
- Isle Of Kawi/Bondage/Regitativ/Electronic Nightmare/Death Hymn/Light And Darkness/The Trip/Man of The Void - Akasha
- Le travail de Jens Andreassen avec les filtres et les oscillateurs est tout simplement époustouflant. Seul couac ….. une qualité sonore médiocre, l’album a été enregistré dans la cave d'un hôtel. Du coup, je ne résiste pas à te passer l’album en entier
- Version Originale ( 1977) - 42°36
- W.W.W. (la suite) - Burnin' Red Ivanhoe
- Formé en 1967, c’est l'un des premiers groupes de prog scandinave, mêlant jazz-rock, R&B, blues ou psychédélisme. En 1971, le groupe sort l'album « WWW », qui est probablement un bon point de départ (pour les proggers), car il contient certaines de leurs œuvres les plus progressives et les plus intéressantes. Outre le titre éponyme, la suite du même nom serait composée des 4 premiers titres de l’album, le morceau WWW étant à peu près au centre de la pièce.
- Version Originale (1971) - 23°21
- Drag Dilemma - Nine Days’ Wonder
- Inspiré par King Crimson, Frank Zappa ou Soft Machine, c’est du rock prog Allemand ...mais en plus original. Des riffs progressifs lourds, du jazz fusion, une grande part d'improvisation libre, des changements de tempo et une folie générale, le talent de John Earle au saxophone et à la flûte était particulièrement remarquable.
- Version Originale (1970) - 12°48