Solidarité avec les immigrés 1
Émission du 22/09/2025
Ce soir, nous diffusons la 1ère partie du débat qui a eu lieu cet été aux Rencontres Libertaires du Quercy concernant l’urgence de la solidarité à amener aux immigré-e-s.
Dans la plupart des cas, l’administration française ne répond même plus aux demandes de régularisation des sans-papiers. C’est le silence ou la délivrance d’une obligation à quitter le territoire français (OQTF). Même le renouvellement automatique des cartes de séjour n’est plus assuré. A cela s’ajoutent l’informatisation de toute prise de rendez-vous dans les préfectures, l’obligation d’obtenir des examens de connaissances du français, de l’histoire et de la géographie de nos institutions, etc. L’immigration familiale est dans le collimateur – déjà, à Mayotte, le tristement célèbre Manuel Vals voudrait ne plus régulariser les parents d’enfants français, ou retirer un titre de séjour aux parents d’un enfant troublant l’ordre public.
Quant à la régularisation des travailleurs sans papiers, elle est bloquée depuis plusieurs années, et pourtant de nombreux secteurs de l’économie ne trouvent plus de main-d’œuvre («métiers sous tension»).
Dans la plupart des cas, l’administration française ne répond même plus aux demandes de régularisation des sans-papiers. C’est le silence ou la délivrance d’une obligation à quitter le territoire français (OQTF). Même le renouvellement automatique des cartes de séjour n’est plus assuré. A cela s’ajoutent l’informatisation de toute prise de rendez-vous dans les préfectures, l’obligation d’obtenir des examens de connaissances du français, de l’histoire et de la géographie de nos institutions, etc. L’immigration familiale est dans le collimateur – déjà, à Mayotte, le tristement célèbre Manuel Vals voudrait ne plus régulariser les parents d’enfants français, ou retirer un titre de séjour aux parents d’un enfant troublant l’ordre public.
Quant à la régularisation des travailleurs sans papiers, elle est bloquée depuis plusieurs années, et pourtant de nombreux secteurs de l’économie ne trouvent plus de main-d’œuvre («métiers sous tension»).